Futures parutions

Ces parutions qui me font de l’oeil : Mai 2022

ROMANS

Il nous restera ça, Virginie GRIMALDI (Fayard) : 04 mai

À 33 ans, Iris trimballe sa vie dans une valise.

Théo, 18 ans, a peu de rêves, car ils en foutent partout quand ils se brisent.

À 74 ans, Jeanne regarde son existence dans le rétroviseur.

Rien ne les destinait à se rencontrer.

Quand le hasard les réunit sous le même toit, ces trois êtres abîmés vont devoir apprendre à vivre ensemble. La jeune femme mystérieuse, le garçon gouailleur et la dame discrète se retrouvent malgré eux dans une colocation qui leur réserve bien des surprises.

C’est l’histoire de trois solitudes qui se percutent, de ces rencontres inattendues qui sonnent comme des évidences.

L’antre des louves, Elodie Harper (Calmann-Lévy) : 04 mai

Bienvenue à Pompéi, en l’an 74 avant notre ère. Amara, jeune grecque instruite mais réduite en esclavage après la mort de son père, est vendue à bas prix à un lupanar sordide, l’Antre des Louves, dirigé par Félix, un homme violent et imprévisible.

L’impétueuse Amara comprend vite que la cité a beaucoup d’opportunités à offrir à celles qui savent les saisir. Avec les autres prostituées, qui deviennent sa famille de coeur, elle gravit les échelons d’une société où les hommes détiennent le pouvoir, forçant les femmes à constamment s’adapter pour survivre.

Des ruelles animées de Pompéi aux recoins les plus sombres de l’Antre des Louves, nul n’imagine une seconde que les prostituées connaissent les règles du jeu mieux que quiconque.

Amara va apprendre à utiliser et à contourner les codes de ce monde impitoyable afin de regagner sa liberté.

Évidemment Martha, Meg Mason (Cherche Midi) : 12 mai

Quelque chose ne tourne pas rond chez Martha, et depuis longtemps. Lorsqu’elle avait dix-sept ans, une petite bombe a explosé dans son cerveau et elle n’a plus jamais été la même. Et malgré toutes les consultations, thérapies sans fin et traitements hasardeux, elle ne sait toujours pas ce qui ne va pas… Pourquoi passe-t-elle des journées entières au fond de son lit ? Et pourquoi continue-t-elle à se mettre à dos des inconnus, et des proches, avec ses remarques cruelles et désinvoltes ?
Aujourd’hui, son mari l’a quittée et elle n’a plus nulle part où aller, si ce n’est dans la maison de son enfance, une maison bohème (délabrée) dans un quartier romantique (délabré) de Londres. Et rien d’autre à faire que retrouver sa mère, une sculptrice au talent confidentiel – et très alcoolique – et son père, un poète célèbre – bien que jamais publié… Mais comment survivre là-bas sans sa sœur dévouée, grande gueule, qui rendait tout ce chaos supportable pendant leur enfance, et qui est maintenant trop occupée ou trop fatiguée pour prendre soin d’elle ?
Peut-être qu’en repartant de zéro, Martha pourra écrire un meilleur dénouement pour son histoire ratée – ou découvrir que cette histoire n’est pas encore tout à fait terminée.

Désenchantées, Marie Vareille (Charleston) : 17 mai

La disparition de Sarah Leroy, quinze ans, a bouleversé la petite bourgade de Bouville-sur-Mer et ému la France entière. Dans chaque foyer, chaque bistrot, on élaborait des hypothèses, mais ce qui est vraiment arrivé, personne ne l’a jamais su.

Vingt ans plus tard, Fanny revient sur les lieux de ce drame qui a marqué sa jeunesse. Et c’est tout un passé qu’elle avait préféré oublier qui resurgit… Car l’histoire de Sarah Leroy, c’est aussi un peu la sienne, et celle d’une bande de filles qui se faisaient appeler les « Désenchantées ». Une histoire qui a l’odeur des premières cigarettes et du chlore de la piscine municipale, des serments d’amitié et surtout, des plus lourds secrets.

Avec finesse et un vrai sens du suspense, Marie Vareille met à nu les rouages de l’amitié féminine dans un roman d’apprentissage captivant et rempli d’émotion.

POLICIERS

Je sais qui l’a tué, Steve Mosby (Sonatine) : 25 mai

Chaque année, l’inspecteur David Groves reçoit une carte postale anonyme le jour de l’anniversaire de son fils, assassiné par des inconnus quatre ans plus tôt. Mais cette fois, le message est différent, et pourrait bien changer la donne : Je sais qui l’a tué.
À peine remis des traumatismes liés à la traque d’un tueur en série, l’inspecteur Mark Nelson se voit confier une nouvelle enquête. On vient de trouver une femme errant dans la rue, qui affirme être Charlie Matheson, décédée deux ans plus tôt dans un accident de voiture. Un mensonge, assurément. Et pourtant, il est bien arrivé quelque chose de terrible à cette femme. En quête de vérité, Groves et Nelson vont bientôt devoir traverser l’enfer, celui d’un passé qu’ils n’ont cessé de fuir.

Reste près de lui, Emily Koch (Calmann-Lévy) : 18 mai

Alice et Indigo sont deux mères célibataires que tout oppose. Lou, le fils d’Alice, meurt une soirée où était présent Kane. Ce dernier est accusé de meurtre mais Indigo est convaincue de son innocence.

Le bon père, Santiago Diaz (Cherche Midi) : 19 mai

Madrid. À la suite d’un appel téléphonique, la police découvre un homme couvert de sang, prostré près du corps de sa femme dans leur maison d’un quartier résidentiel. Tous les indices l’incriminent. Jugé coupable, Gustavo Fonseca écope d’une lourde peine de prison.

Un an plus tard, Ramón Fonseca, le père de Gustavo, entre dans un commissariat et affirme être le ravisseur de trois personnes portées disparues. Leur point commun : ils ont tous un lien avec la condamnation de son fils. L’un est l’avocat qui a défendu Gustavo, le deuxième est le juge qui l’a envoyé en prison, quant à la troisième personne, elle a témoigné contre lui lors de son procès.

Convaincu que tous les trois ont été soudoyés, le vieil homme donne moins d’un mois à la police pour retrouver le véritable assassin de sa belle-fille et libérer Gustavo. Sans cela, il les tuera, l’un après l’autre.

L’inspectrice Indira Ramos, à l’éthique aussi tenace que sa phobie des microbes, n’aura que quelques semaines pour résoudre l’affaire avant que le « bon père » ne mette son plan macabre à exécution.

ADOS

One last stop, Casey McQuiston (Lumen) : 05 mai

Le dernier arrêt ? Non, c’est là que tout commence…

Après My Dear F***ing Prince, découvrez la nouvelle comédie romantique de Casey McQuiston !

À vingt-trois ans, August s’installe à New York pour échapper à sa mère, avec qui elle entretient une relation compliquée. Cynique et intentionnellement solitaire, elle tombe malgré elle au beau milieu d’un véritable nid de fou : une colocation joyeuse et extravagante, où discussions et fêtes se succèdent. Mais, sceptique, elle ne se laisse pas vraiment toucher par la ville fascinante et insaisissable qu’elle découvre peu à peu.

Et si ce n’était pas déjà assez déroutant, voilà que par un matin de galère, sur le chemin de la fac, elle fait la rencontre d’une certaine Jane qui n’hésite pas à la sortir d’un mauvais pas. August en reste abasourdie : qui est cette fille belle à tomber qu’elle croise et recroise sans cesse sur sa ligne de métro new-yorkais ? En tout cas, la jeune inconnue au blouson de cuir, à la fois mystérieuse et solaire, n’est pas ce qu’elle prétend… Car, là, sur le mur du légendaire diner où August joue les serveuses pour se faire un peu d’argent, le visage de Jane illumine une photo prise… dans les années 1970 ! Comment expliquer ce prodige ?

En route pour l’avenir, Sarah Dessen (Lumen) : 05 mai

Voilà des mois qu’Auden ne dort plus la nuit. Depuis le divorce de ses parents au moins… Non, depuis que leurs disputes ont commencé. Alors, quand l’opportunité se présente de passer un été insouciant à la plage dans la petite ville balnéaire où son père s’est installé, elle saute sur l’occasion.

Elle fait ses valises et s’apprête à savourer ses vacances sans penser à rien (c’est fatiguant, il faut dire, de jouer les filles parfaites d’un bout de l’année à l’autre comme sa mère l’exige) quand elle découvre, déçue, que son père n’a pas grand-chose à faire de sa venue. Heureusement, elle ne tarde pas à tomber sur un autre insomniaque, Eli, hanté par l’un de ces accidents de la vie qui changent tout…

Un pont entre nous, William Konigsberg (PKJ) : 05 mai

Pour Aaron et Tillie, quatre destins sont possibles, mais un seul mène au happy end.

Ils ont beau ne pas se connaître, Aaron et Tillie ont le même projet : sauter du pont George Washington. Leurs destins, s’ils sont liés, ne sont pourtant pas scellés. Ils peuvent encore emprunter différents chemins : Aaron saute, mais pas Tillie. Tillie saute, Aaron non. Ils sautent tous les deux… … ou ni l’un, ni l’autre.

Quatre scénarios à découvrir, ainsi que leurs conséquences tour à tour poignantes, terribles, saisissantes et lumineuses. Une chose est certaine : personne ne sortira indemne de cette lecture.

Je ne dirai pas le mot, Madeleine Assas (Actes Sud Junior) : 11 mai

Ils habitent le même immeuble, se connaissent depuis qu’ils ont huit ans. Mais depuis la rentrée, elle éprouve pour lui un sentiment nouveau, bizarre. Et soudain, elle a l’impression que lui aussi ne la regarde pas pareil. Les sensations, les gestes, le monde a changé entre eux. Même la parole cherche les mots comme dans une autre langue. Elle ne se reconnaît plus, ne le reconnaît plus. Est-ce qu’elle se fait des idées ? Pour se libérer de son angoisse, elle décide de lui écrire. Brouillons de lettre qui finissent à la poubelle, sms effacés nourrissent la frustration d’une jeune fille qui voudrait dire une chose si simple : je t’aime, mais n’y arrive jamais. Lui parler, est-ce le risque de le perdre pour toujours ?

La pointe du compas, Anne Rehbinder (Actes Sud Junior) : 11 mai

Tessa porte des joggings homme oversize, alors que sa mère voudrait faire d’elle une poupée lisse, délicate et gracieuse. Une tenue commode pour se cacher et sortir de « la zone du sexe, de la drague et de tout le bordel qui va avec. » Rejetant l’écrasant bagage qu’impose le fait de naître fille, l’adolescente envoie valser avec franc-parler et humour le diktat des apparences et de la séduction. Elle veut vivre sa féminité comme elle l’entend. Sa sexualité aussi, qui effraye tant sa mère. Et puis un jour, un secret de famille explose, un terrible trauma, qui amène Tessa à reconsidérer sa relation complexe avec sa mère. De quoi la jeune fille est-elle l’héritière ?

Manuel d’une fille culottée, Candace Bushnell & Katie Cotugno (Michel Lafon) : 11 mai

Un personnage résolument féministe, une comédie engagée.

Rase-toi les jambes. N’abuse pas du maquillage. Ne porte pas de minijupe. Ne sois pas une de ces filles qui ne mangent jamais de pizza. Tu prends un milk-shake en plus ? Est-ce que tu as pris du poids ? N’en perds pas trop, tes formes vont disparaître. Mais attention, tu dois rester mince. Sois drôle mais ne cherche pas à être le centre de l’attention. Sois intelligente mais il te reste beaucoup à apprendre.

Ne te laisse pas marcher dessus mais, arrête de te prendre pour la cheffe. Sois cool. Soit facile à vivre. Ne sois pas facile. Ne sois pas prude.

Souviens-toi ma fille : il n’y a jamais eu de meilleure époque pour les femmes. Tu peux faire tout ce que tu veux ! Tu peux être qui tu as envie d’être ! Tant que tu n’enfreins pas les règles.

Aristote et Dante plongent dans les eaux du monde, Benjamin Alire Saenz (PKJ) : 12 mai

Une histoire d’amour, d’une profondeur et d’une justesse bouleversantes ! Depuis qu’Ari a rencontré Dante, sa vie a basculé. Il ne cherche plus à se rendre invisible. Il ne fuit plus la compagnie des autres. Mais le souvenir de son frère emprisonné hante toujours ses nuits, son père est plus secret que jamais et l’avenir est une terrifiante page blanche. Surtout, il ne sait que faire de ce désir envahissant qui ne lui laisse aucun répit…

Main dans la main, Aristote et Dante se tiennent prêts à affronter la violence d’un univers qui hait la différence.

Hello girls, Brittany Cavallaro et Emily Henry (PKJ) : 19 mai

Winona et Lucille se rencontrent par hasard devant un commissariat de police. C’est le coup de foudre amical. Ensemble, elles partent à l’aventure à travers les Etats-Unis au volant d’une voiture volée. Commence alors un périple qui leur réserve bien des surprises.

ALBUMS

Le cœur caché, Angélique Villeneuve et Marta Orzel (Actes Sud junior) : 04 mai

Une histoire d’amitié qui joue sur les doubles lettres présentes dans les mots, sur les palindromes et sur les sonorités, pour peindre un monde ressemblant au nôtre, et pourtant parfaitement étrange… Un album pareil à nul autre, fin et délicat, plein de tendresse, qui montre que la beauté de l’âme l’emporte sur l’apparence. À mettre entre toutes les mains.

Bob n’arrive pas à voir le visage d’Emma. De face comme de dos, elle est semblable, sans visage. C’est un peu déconcertant, bien sûr, mais ça laisse place à l’imagination. Bien vite, il ne s’inquiète plus de ce à quoi elle peut bien ressembler. Ils parlent, ils se découvrent, s’amusent de leurs prénoms, des lettres, de leur graphisme. Une belle amitié naît sur le banc de ce parc. Et puis, mince, leur jeu est interrompu par un malotru venu se moquer d’Emma et de son étrange figure. Bob ne sait pas quoi dire pour réconforter son amie. Mais celle-ci est vraiment bien surprenante : elle se met à chanter et ils dansent ensemble parmi les mimosas. Décidément, Emma ne ressemble à nulle autre, mais surtout elle a la plus belle âme qui soit. Et c’est tout ce qui compte, n’est-ce pas ?

La première aube, Estelle Faye et Antonin Faure (Nathan) : 05 mai

Une magnifique histoire universelle, ode à la liberté et à la beauté du mondeLuna et Sol ne connaissent que le Dôme, entièrement fermé, sous lequel ils vivent depuis leur naissance. Jusqu’au jour où la grand-mère de Luna lui offre une clé… Celle-ci mènera les enfants à une porte qui ouvre sur l’extérieur ! C’est le début d’une belle et grandiose aventure…

Le concours de cabane, Camille Garoche (Little Urban) : 06 mai

La finale du concours mondial de cabanes arrive à grandes pattes ! Vous voici conviés par une grue globe-trotter pour un voyage au coeur des arbres les plus fascinants. Les enfants du monde entier ont rivalisé d’ingéniosité pour imaginer la plus incroyable des cabanes. À noter qu’il est possible de voter en fin d’album pour sa cabane préférée.

Ma cabane, Guillaume Guéraud et Alfred (La Martinière Jeunesse) : 13 mai

Une histoire sur le thème de la cabane, lieu de refuge lié à l’imaginaire.

Papa, Nicolas Mathieu et Stéphane Kiehl (Actes Sud junior) : 18 mai

Papa sent que quelque chose se trame. Il le connaît, son fils, et quand il est agité comme ça, c’est qu’il prépare un projet secret. Et Papa observe beaucoup son fils. Il se souvient de lui, assis dans le canapé, qui regardait Robin des bois à la télé ; sur le pas de la porte avec des chaussures dépareillées, prêt à partir pour l’école ; en train de faire des farces. Alors Papa sourit, il en profite, car les enfants grandissent si vite. Il voudrait arrêter le temps, ne plus vieillir, que son garçon reste un petit garçon… et qu’il continue de lui offrir chaque année des dessins pour la fête des pères. Des dessins qui, eux, ne vieilliraient jamais.

BD

Tant que nous sommes vivants, Frédéric Bihel et Anne-Laure Bondoux : 04 mai

Fuyant la guerre, un homme et une femme se sont réfugiés dans une forêt inconnue. L’homme, Bo, est un colosse. La femme, Hama, a perdu ses deux mains. Elle donne naissance à une fille, Tsell. Tous trois sont bientôt recueillis par un petit peuple vivant sous terre dans un immense refuge, un véritable dédale de galeries : le Bas.

D’où viennent Bo et Hama ? Quels malheurs ont-ils subis, qui les ont forcés à quitter leur foyer ? Quelle est leur histoire ?

Un récit graphique dense, puissant et hypnotique, adapté du roman d’Anne-Laure Bondoux.

Filgoude, Mathou (Robert Laffont) : 19 mai

Filgoude, c’est la meuf toujours positive, en forme, joyeuse, au top, adepte du bien-être : c’est sûr, si j’étais elle, je serais une « meilleure moi ». 
Et si j’essayais d’être cette « moi en mieux » ? 

Chroniques du Grumeauland 1, Nathalie Jomard (Michel Lafon) : 25 mai

Nathalie Jomard by Nathalie Jomard, c’est la quintessence de la substantifique moelle du nectar du Grumeauland sublimée par l’humour qui fait rire et une bonne dose de watzeufeuk. Les chroniques drôles et décomplexées du Grumeauland où Chat-Bouboule et les grumeaux agités et vagissants cohabitent avec une ménagerie de carottes en slip-chaussettes et de Brocolis en bonnet de douche-soutif (et accessoirement avec leur mère, l’univers et ses annexes). C’est frais, c’est ébouriffant, parfois irrévérencieux, c’est la vie, c’est votre vie, mais en plus drôle.
Du Nathalie Jomard en somme.

DOCUMENTAIRE

Mes seins, mon choix !, Anne-Florence Salvetti-Lionne (Eyrolles) – 19 mai

Nous ne reviendrons pas sur les bienfaits de l’allaitement pour l’enfant et pour la mère, ce n’est pas l’objet de ce livre. Mon corps, mes seins, mon choix. Chacune fait son choix et n’a en aucun cas besoin de se justifier. Ce qui nous intéresse ici, c’est de comprendre en quoi l’allaitement est, ou non, féministe. Quelle a été la place de l’allaitement dans l’Histoire des Femmes ? Pourquoi l’a-t-on rejeté autrefois ? Pourquoi le revendique-t-on aujourd’hui ? L’auteure revient sur l’histoire de l’allaitement et produit une analyse de l’évolution des mentalités, notamment d’un point de vue féministe.

Loucy

Cyrielle, Bibliothécaire de 28 ans, blogueuse. J'aime lire (sans rire), les pingouins, les films, la musique (en jouer, en écouter), la noix de coco & la vanille. Mais surtout vous êtes sur mon bébé : Lou lit là, mon blog pour échanger autour de la lecture.

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Cyrielle, Bibliothécaire de 28 ans, blogueuse. J'aime lire (sans rire), les pingouins, les films, la musique (en jouer, en écouter), la noix de coco & la vanille. Mais surtout vous êtes sur mon bébé : Lou lit là, mon blog pour échanger autour de la lecture.

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