Called game était proposé comme un subtil mélange entre Game of Thrones et les Tudors, je ne pouvais pas résister à ce nouveau manga de Kaneyoshi Izumi. Bon surtout pour les Tudors que pour GoT ! Et on peut dire que ce premier tome remplit ses promesses.
Alna est une jeune princesse, la petite dernière d’une fratrie nombreuse, qui est restée plutôt libre jusqu’à maintenant. En effet, les charges et l’attention étaient dirigées vers ses aînés, lui laissant la possibilité de vivre une vie presque normale pour une princesse. Elle était promise à un jeune noble du royaume et pouvait envisager une vie sereine au sein du pays qui l’avait vu naître. Mais un jour, elle a l’ordre de s’unir au roi d’un pays voisin. Un roi cruel dont les promises semblent avoir disparu tour à tour. Le destin des princesses est malheureusement de servir de monnaie d’échange pour garantir la paix entre les royaumes et Alna va devoir accomplir son devoir.
Pour autant, son père ne l’envoie pas dans ce royaume toute seule. Camilia, une cousine éloignée, l’accompagnera. Et il lui conseille d’échanger leurs identités pour garantir sa protection. Alna, devenue Camilla, va alors découvrir un royaume bien étrange et différent du sien. Mais surtout, elle va découvrir ce que sont devenues les promises précédentes.
Commence alors une histoire de jeux politiques où tous les coups semblent être permis. Chaque personnage a ses raisons pour se battre et obtenir le pouvoir. À côté de cela, on plonge dans la vie de cour où les intrigues vont bon train. Mais surtout, on admire l’habileté de notre princesse pour conserver sa double identité secrète. Et cela ne s’annonce pas si simple !
En bref, Called game c’est …
Un premier tome qui nous permet de mettre en place beaucoup d’éléments, que ce soit au niveau de la présentation du monde, des personnages ou encore des intrigues à venir. Le tout avec des dessins à la finesse remarquable. Kaneyoshi Izumi nous plonge dans un univers impitoyable que l’on a plaisir à suivre. Vivement la suite !
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