
Depuis le temps que je voulais lire Mon mari…depuis sa sortie je crois bien ! Et le temps a filé… J’avais lu des chroniques tentantes qui mettaient en avant ce que je pressentais dans le roman.
Nous suivons une femme ou plutôt une épouse. Elle ne vit que pour son mari, que pour ses retrouvailles chaque soir. Sa femme l’aime plus que tout, d’un amour dévorant, d’un amour qui dépasse tout. Elle ne se lasse pas de dire « Mon mari ». D’ailleurs il serait intéressant de compter le nombre d’occurrences qui apparaissent dans le roman
Rien n’a jamais fait faiblir son amour. Rien ne l’a jamais égalé. Ses deux enfants ? Bof… Son métier ? Non. Vraiment rien n’atteint son amour pour son époux.
Une semaine dans ce couple, une semaine dans la tête de cette femme follement amoureuse de son mari. On rit, on sourit mais on est aussi mal à l’aise à la lire parfois. Elle est finalement assez effrayante dans sa vision. Il est donc possible d’aimer à ce point, à cette folie.
En bref, Mon mari c’est …
Quelques longueurs parfois mais le rythme est là et nous pousse à tourner les pages, à voir jusqu’où on va aller. Jusqu’à la fin. Cette fameuse fin dont on parlait tant. Je n’en dirais rien si ce n’est qu’à force d’insister dessus, j’ai été à l’affût de certains détails dans le roman qui m’avaient mis la puce à l’oreille. Mais j’ai beaucoup aimé ce dénouement. C’est fort, c’est intense.
Voilà un roman d’amour qui change des romans d’amour habituels !
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