
Ces parutions qui me font de l’oeil : août 2021
Pour ce mois-ci, le programme n’est fait que de parutions adultes !
Un tesson d’éternité, Valérie TONG CUONG chez JC Lattès (18 août)
Entre sa pharmacie, sa villa surplombant la mer et sa famille soudée, Anna Gauthier mène une existence à l’abri des tourments, jusqu’à ce que son fils Léo, un lycéen, se retrouve aux prises avec la justice. Elle assiste alors impuissante à l’effondrement de son monde, morceau par morceau, après avoir mesuré chacun de ses actes pour essayer d’en garder le contrôle.
Lorsque le dernier arbre, Michael CHRISTIE chez Albin Michel (18 août)
« Le temps ne va pas dans une direction donnée. Il s’accumule, c’est tout – dans le corps, dans le monde -, comme le bois. Couche après couche. Claire, puis sombre. Chacune reposant sur la précédente, impossible sans celle d’avant. Chaque triomphe, chaque désastre inscrit pour toujours dans sa structure. »
D’un futur proche aux années 1930, Michael Christie bâtit, à la manière d’un architecte, la généalogie d’une famille au destin assombri par les secrets et intimement lié à celui des forêts.
2038. Les vagues épidémiques du Grand Dépérissement ont décimé tous les arbres et transformé la planète en un désert de poussière. L’un des derniers refuges est une île boisée au large de la Colombie-Britannique, qui accueille des touristes fortunés venus admirer l’ultime forêt primaire. Jacinda y travaille comme guide, sans véritable espoir d’un avenir meilleur. Jusqu’au jour où un ami lui apprend qu’elle serait la descendante de Harris Greenwood, un magnat du bois à la réputation sulfureuse. Commence alors un récit foisonnant et protéiforme dont les ramifications insoupçonnées font écho aux événements, aux drames et aux bouleversements qui ont façonné notre monde. Que nous restera-t-il lorsque le dernier arbre aura été abattu ?
Seule en sa demeure, Cécile COULON chez l’Iconoclaste (19 août)
Au XIXe siècle, Aimée, 18 ans, épouse Candre Marchère et s’installe au domaine de la Forêt d’Or. Très vite, elle se heurte au silence du riche propriétaire terrien du Jura et à la toute puissance de sa servante, Henria. Elle cherche sa place dans cette demeure hantée par le fantôme d’Aleth, la première épouse. Jusqu’au jour où Emeline, venue donner des cours de flûte, fait éclater ce monde clos.
Mon mari, Maud VENTURA chez l’Iconoclaste (19 août)
Pour se prouver que son mari ne l’aime plus après quinze ans de vie commune, une épouse se met à épier tous ses gestes. Chaque jour, elle note méthodiquement les signes de désamour, les peines à lui infliger, les pièges à lui tendre, allant jusqu’à le tromper pour le tester. Face aux autres femmes, il lui faut être la plus soignée et la plus désirable.
Apaiser nos tempêtes, Jean HEGLAND chez Phébus (19 août)
Le parcours de deux femmes que tout oppose. Anna étudie la photographie à l’université de Washington tandis que Cerise, lycéenne, vit en Californie sous l’emprise de sa mère. Toutes deux tombent enceinte accidentellement. Anna choisit d’avorter alors que Cerise garde l’enfant. Dix ans plus tard, ces décisions influent sur le cours de leur vie.


2 commentaires
Buckette - La bibli d'Amélie
Très tentée par Lorsque le dernier arbre (je ne connaissais pas mais j’ai déserté la blogosphère depuis 4 mois :’)). Il me fait penser à Une histoire des abeilles, je sais pas si tu le connais, il parle aussi de 3 « générations » lié par les abeilles. C’était intéressant à lire.
Loucy
Je ne sais pas si on a tellement parlé du roman je dois avouer …! Je connais Une histoire des abeilles mais je ne l’ai pas lu (il me tentait à l’époque de sa sortie d’ailleurs!). Contente de voir qu’il t’avait plu 🙂