Voilà bien longtemps qu’on voit My dear f***cking Prince passer sur les réseaux, depuis sa sortie VO au final. J’avais repéré la parution Lumen pour 2020, finalement la voici en 2021 et j’ai mis un peu de temps à le finir (non par manque d’intérêt !).
D’un côté, le fils de la présidente des États-Unis, un mec en vue, d’origine latino, passionné d’histoire et de politique, fort en gueule. De l’autre, le prince d’Angleterre, pur produit de la monarchie. Ils se détestent depuis leur adolescence. Vraiment ? Un « cake Gate » et les voilà obligés de s’entendre. Mais on ne leur avait pas dit de s’entendre aussi bien…
Alex est un héros attachant, fonceur, passionné. C’est un plaisir de le suivre. Henry est un bonheur à découvrir petit à petit. À leurs côtés, des personnages sortent leur épingle du jeu et on aimerait mieux les connaître (comme June ou Rafael Luna). Le duo Alex / Henry fonctionne bien et on se laisse bercer avec plaisir dans cette romance. Au passage des réflexions sur l’homosexualité et la bisexualité lorsqu’on est un personnage médiatique. C’est bien amené.
En bref, My dear f***cking Prince c’est …
Humour, références littéraires et politiques (que j’aime les citations d’amour qui apparaissent), on se laisse porter par la romance de ces deux héros. Une romance fraîche, qui ne surprend pas mais qu’on aime découvrir en buvant un thé à l’anglaise !
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