Chroniques

La Septième vague, Daniel Glattauer

Titre : La Septième vague
Auteur : Daniel Glattauer
Editeur : Grasset
Date de parution : Avril 2011
Prix : 18.30 €

Présentation de l’éditeur
Leo, de retour des Etats-Unis, la correspondance entre Emmi et lui reprend, d’abord timide après de longs mois de silence, puis tout s’enchaîne.
Mais voici qu’Emmi souhaite en finir pour de bon et mettre un terme à cette relation épistolaire. Pour cela, elle veut rencontrer Leo, une fois au moins…
La rencontre a lieu – conformément à la forme consacrée du roman épistolaire – sans public. Le lecteur n’aura droit qu’au compte-rendu…
La relation virtuelle survivra-t-elle au test de la réalité ? Com-ment maintenir la tension, si les deux personnages ne peuvent plus se cacher derrière les mots, mais se retrouvent face à face ? C’est là tout le charme, pétillant et captivant, de cette romance virtuelle et virtuose.
Avis
Avec grande impatience et grande joie, je retrouvai donc assez vite Emmi et Leo pour la suite de leur aventure. 
Je n’ai pas été déçue mais je n’ai pas été aussi emballée que pour le premier tome. J’ai été contente de retrouver les deux personnages, mais on sent bien que l’auteur a écrit cette suite pour répondre à une forte attente de ses lecteurs. De plus, l’effet de surprise est passé, on retrouve le même genre, les mêmes rebondissements. Du coup, même si j’ai bien aimé, je pense qu’il est nécessaire de lire les deux tomes dans un laps de temps assez court, sous peine de ne pas être plus conquis que cela. Le style de l’auteur reste donc le même, ceux qui n’avaient pas aimé l’épistolaire cybernétique ne l’apprécieront toujours pas.
Attention, ne pas lire la suite, qui risque de vous donner trop d’indices sur les fins des romans.
La fin m’a presque déçue en fait. Je trouve que c’est trop « facile », il revient sur son premier roman quasiment au final, offrant la fin qui était sans doute souhaitée par la majorité des gens. C’est dommage de ne pas « assumer » sa première version et de se laisser entrainer, de vouloir faire plaisir à ses lecteurs comme ça. (Même si j’avais trouvé la première fin abrupte, elle tombait bien).
Loucy

Loucy

Cyrielle, Bibliothécaire de 28 ans, blogueuse. J'aime lire (sans rire), les pingouins, les films, la musique (en jouer, en écouter), la noix de coco & la vanille. Mais surtout vous êtes sur mon bébé : Lou lit là, mon blog pour échanger autour de la lecture.

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