Après un coup de cœur pour le premier tome, confirmé par la gazette 4, je remercie vivement Rue de Sèvres pour l’envoi de ce deuxième tome.
Dans ce deuxième tome, nous retrouvons avec plaisir nos héros là où nous les avions quittés à la fin du premier tome. Et rapidement, l’action reprend et nous réentraîne dans l’aventure de l’éther. L’histoire onirique nous berce, nous fait rêver à cet ailleurs, à ces possibilités. Que ce soit l’histoire ou les illustrations, tout est fait pour nous enchanter et nous faire rêver. On pourrait rester en admiration devant chaque planche à en observer chaque détail, d’autant que l’édition est à nouveau magnifique (et je n’ose imaginer celle de luxe !). Tout est poétique, vivant, on se met à rêver de l’espace, d’aventures de l’éther.
Les personnages continuent à nous faire rire, à nous émouvoir, à nous étonner. Si ce deuxième tome est plus centré sur l’action que le précédent, l’attachement aux personnages reste tout de même.
Comme pour le premier tome, ce deuxième opus a été découpé en différentes gazettes sur plusieurs mois (trois gazettes pour être précise), qui sont d’une taille importante et qui permettent de voir les dessins autrement, mais aussi d’avoir des informations autres. En effet, dans les gazettes on trouve des petits articles qui rappellent ceux qui paraissaient dans les journaux de l’époque et qui contribuent à nous immerger dans l’époque de Jules Verne et de nos aventuriers de l’éther.
Ce tome est à nouveau un coup de cœur et c’est avec tristesse que l’on se retrouve à la fin, incapable d’avoir pu faire durer le plaisir plus longtemps. On a pourtant passé du temps à rêver devant les différentes planches, voire même devant certains détails parfois. Alex Alice est un auteur à suivre encore et toujours. Bonne nouvelle, ce deuxième tome signe la fin d’un cycle et non d’une histoire. Vivement le nouveau cycle, vivement les retrouvailles avec nos personnages, vivement une nouvelle aventure !
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